Salut à tous !
Bon… Comme vous en ce moment, je suis confinée à la maison. Pour lutter contre ce méchant virus, pas question de sortir ! Mais bon, je dois avouer qu’entre les devoirs que je dois faire toute seule (ou avec mes parents), ma sœur qui m’embête et l’ennui qui commence à être là… ce n’est pas facile tous les jours.
Et vous ? Comment ça se passe chez vous ? Racontez-moi ! Et si vous avez des idées pour vous occuper ou des conseils pour faire vos devoirs, n’hésitez pas : je suis preneuse !
À bientôt et bon courage !
Lulu (qui pense très fort à vous)
C’est compliqué car je fais du piano. J’ai beaucoup de travail et mes frères et sœurs ont besoin d’aide. Mais j’arrive à m’en sortir !
Moi, le confinement, je le vis comme je peux. Mais le problème, c’est qu’on doit faire du télétravail. Je dois rester toute la journée sur mon ordinateur… Le soir, j’en ai mal à la tête.
Le confinement, ça ne me change presque rien, car je fais l’école à la maison ! Mon père travaille quatorze jours, puis les quatorze suivants, il est à la maison.
Je fais des travaux manuels, de la pâtisserie et je regarde ma tablette !
C’est parfois un petit peu difficile. Mais bon, on fait comme on peut.
J’aime bien le confinement, car je peux faire plein de choses que je ne pourrais pas faire en temps normal… comme des crêpes ! J’en fais presque tous les jours, et nous avons le droit de sortir une heure par jour. Alors, nous en profitons pour aller au terrain de foot.
J’aimerais bien qu’à Astrapi, vous adaptiez les histoires en fonction de l’actualité : Lulu veut aider les soignants, Lulu a peur de l’épidémie… Est-ce que la dessinatrice pourrait faire un épisode spécial à mettre en ligne ou à envoyer aux abonnés ?
Je déteste le confinement car je ne peux pas aller à la médiathèque ni voir mes amis. Mais j’aime bien les petits jeux qu’on fait à la maison.
Je fais beaucoup de pâtisserie !
J’ai beaucoup de devoirs et j’ai mes trois frères. Ça fait beaucoup, mais je me débrouille comme je peux. J’aimerais bien voir mes copines, cousins et cousines, mais comme on ne peut pas, je les appelle ou leur parle sur internet.